Les personnes souhaitant exercer une activité indépendante à titre secondaire doivent d'abord s'inscrire auprès d'un compteur d'entreprise et demander un numéro d'entreprise. Cet enregistrement s'élève à 88,50 euros. Après avoir demandé votre numéro d'entreprise, vous pouvez également demander un numéro de TVA. Il y a 8 reconnus compteur d'entreprisequi ont de nombreux bureaux en Belgique. Malheureusement, vous ne pouvez pas y entrer en disant : "Je veux devenir free-lance à titre complémentaire". Pour la simple raison que le "free-lance à titre complémentaire" n'est pas un service à part entière. Vous devez accomplir les mêmes formalités et remplir les mêmes conditions qu'un free-lance à titre principal. Par exemple, vous devez également vous inscrire à un fonds d'assurance socialeLe compte courant professionnel est ouvert et la comptabilité est tenue par l'entreprise.
Devenir free-lance dans une activité secondaire signifie que vous commencez une activité secondaire. Vous avez donc une activité principale dans laquelle vous travaillez au moins à mi-temps. Comme la plupart des salariés suivent la semaine de travail de 38 heures, il est donc nécessaire d'être inscrit auprès d'un employeur pendant au moins 19 heures.
Maintenant que vous êtes passé par le guichet d'entreprise et que vous avez les éléments nécessaires en poche, il est temps de passer à l'étape 2 :
Les free-lances exerçant une activité principale paient beaucoup de cotisations sociales. En effet, les free-lances exerçant une activité principale paient leurs propres cotisations sociales et n'ont donc pas d'employeur qui cotise pour eux. Pour bénéficier d'une exonération ou d'une réduction des cotisations sociales en tant que free-lance à titre secondaire, vous devez fournir une attestation montrant que vous avez une activité principale vous permettant de gagner légalement un revenu supplémentaire ou que vous avez droit à un revenu de remplacement.
Le taux des cotisations sociales pour les free-lances exerçant une activité principale ou secondaire est cependant le même. Vous payez 22% sur le chiffre d'affaires réalisé. La différence est que les free-lances exerçant une activité secondaire paient une avance d'au moins 75 euros par trimestre. Un free-lance exerçant une activité principale paie au moins 698 euros par trimestre. Dans certains cas, les free-lances exerçant une activité secondaire ne doivent pas payer de cotisations de sécurité sociale. Par exemple, les free-lances exerçant une activité secondaire qui gagnent moins de 1 471 euros par an ne doivent pas payer de cotisations sociales. Ainsi, même si vous n'avez aucun revenu, vous ne devez pas payer de cotisations sociales.
En tant que freelance occupant un emploi secondaire, vous serez fortement imposé, car vous vous situerez probablement dans une tranche d'imposition différente. Les revenus provenant de la rémunération complémentaire seront ajoutés à vos autres revenus. En pratique, il vient donc s'ajouter à vos autres revenus. Si votre revenu (rémunération brute) provenant de votre activité principale dépasse 12.470 euros sur une base annuelle, il s'agit de l'impôt 40%. Si vous gagnez plus de 38 080 euros sur une base annuelle, les free-lances exerçant une activité secondaire paient des impôts de 50%. Si vous gagnez moins de 6 130 euros par an sur une base annuelle, vous ne devrez pas payer d'impôts ni de cotisations sociales en tant que free-lance exerçant une activité secondaire. Une autre façon de réduire ces impôts est de prendre en charge le plus grand nombre possible de dépenses spécifiques à l'activité secondaire indépendante. De cette manière, vous aurez un revenu plus faible et devrez donc payer moins d'impôts.
Depuis le 1er septembre 2018, il n'est plus nécessaire de prouver l'attestation de gestion d'entreprise pour créer une entreprise. Il n'est donc plus nécessaire de présenter un diplôme ou une attestation lors de l'inscription en tant qu'indépendant. Toutefois, cela augmentera et renforcera l'importance du plan financier qui doit être mis sur la table pour les sociétés à responsabilité limitée. En outre, on peut s'attendre à ce que, à terme, ce plan soit également nécessaire pour d'autres formes de sociétés et pour les entreprises individuelles. L'entrepreneur en phase de démarrage devra toujours demander des prêts, des assurances, des licences, etc. Ces demandes tiendront désormais également compte de la "qualité" de la start-up. Cela ne signifie pas pour autant que les connaissances en gestion d'entreprise ne sont plus importantes : de bonnes connaissances en gestion d'entreprise restent cruciales !
Sachez également qu'en tant que free-lance exerçant une activité secondaire, vous ne bénéficiez d'aucun droit social. Que vous payiez ou non des cotisations de sécurité sociale. Votre activité secondaire ne vous permet pas de bénéficier d'une augmentation des prestations de maladie ou d'invalidité ou d'une pension complémentaire. Il s'agit uniquement de cotisations de solidarité en faveur de la sécurité sociale des indépendants. Mais si pigiste dans le cadre d'un emploi secondaire, vous bénéficiez de ces droits sociaux à partir de votre activité salariée.
Et qui sait, peut-être passerez-vous bientôt de l'emploi secondaire à l'emploi principal ! Nous vous souhaitons beaucoup de succès !